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Les meilleurs Anime de 2012

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Sélections 2012

Deux mille douze est derrière nous depuis deux mois déjà, mais il n’est jamais trop tard pour faire une rétrospective des nouveautés anime de cette dernière année! Comme on l’avait fait pour l’année 2011, l’Équipe NihonQc vous offre aujourd’hui ses sélections dans 6 différentes catégories. Également, comme nouveauté cette année on a demandé aux membres du forum de participer à leur façon, vous trouverez donc, au bas de l’article, les sélections spéciales de ceux (et celle!) qui ont bien voulu participer.

Bonne lecture!

** Juste avant, un petit mot sur notre processus de sélection:
Par souci de clarté, on souhaite préciser la méthode qui a été choisie pour déterminer si un anime était éligible ou non pour les sélections de cette année. Donc, pour être éligible une série doit s’être terminée entre le 1er janvier et le 31 décembre 2012, rendant inéligibles les séries qui ne sont pas encore terminées à ce jour (telles From The New World, Robotics;Notes, etc), et éligibles certaines qui ont débuté en 2011 (comme Chihayafuru). Évidemment, si une série que vous avez aimée n’est pas représentée ici, c’est peut-être aussi parce qu’on ne l’a simplement pas vue! 
 

Les meilleures séries de l’Année 2012

Les sélections de Drenoss

 

#1 Chihayafuru

Ce qui m’a le plus subjugué dans cet anime. c’est comment l’atmosphère arrive toujours à donner la bonne note et que la série est en mesure de nous toucher suffisamment pour qu’on se dise que, oui, jouer à du Kurata ça peut être du sérieux lorsque la passion des personnages est présente. Tout ça c’est sans compter que l’anime possède une animation soignée, élégante et détaillée. Grâce au studio Madhouse, jamais du garrochage de cartes de tous bords tous cotés n’a été présenté de manière aussi fluide. On se surprend même à découvrir toute la complexité qui se cache derrière ce jeu de cartes, du niveau de concentration mentale et des réflexes que ça prend pour arriver à rester compétitif. Le seul « défaut » de l’anime est l’incompréhension qu’un jeu de cartes aussi méconnu hors du Japon peut causer. Pour ceux qui ont la chance de passer outre ce détriment, il y a un anime unique et tout bonnement magnifique qui vous attend.

#2 Binbougami Ga!

En terme de dilatage de rate, Binbougami Ga! se situe assez haut dans l’échelle de notation. J’ai bien aimé la gimmick qui oppose une fille qui a tout dans la vie à une autre qui est presque la malchance incarnée. Ce duo nous aura donné droit à une variété de situations comiques d’un niveau élevé comme peu d’anime équivalents savent le faire. Mais par-dessus tout, l’élément le plus prestigieux de l’anime c’est sa manière de vouloir parodier les autres anime. Ces scènes sont tout bonnement un pur délice à visionner. Ce qui a certainement dû aider à son succès c’est aussi le fait que l’anime a été adapté par le studio qui s’est occupé d’un des as de la comédie, c’est-à-dire la série Gintama. C’est exactement de la même atmosphère de niaiseries, de situations ridicules qui ont été recréés ici, mais avec une sauce un peu différente.

#3 Kokoro Connect

Même si l’anime peut parfois tomber dans le mélodramatique à son paroxysme, Kokoro Connect se démarque par la manière dont les relations entre ses personnages sont traitées. Le petit groupe d’amis est confronté à une multitude de phénomènes surnaturels contre leur volonté. Ce qui nous motive à regarder l’épisode suivant est vraiment de voir les réactions des personnages et comment leur groupe en ressort grandit à chaque fois. D’ailleurs, comme c’est un anime focalisant sur le romantisme, il est rafraîchissant de constater que sa nature arrive à le rendre quand même atypique à ce niveau-là.

Mentions honorables: Bodacious Space Pirates et Jormungand

Les sélections de Falco

Sélections-Falco

#1 Humanity Has Declined (Jinrui wa Suitai Shimashita)

Un peu moins d’un mois après le visionnement de Jinrui wa Suitai Shimashita (oui, j’ai vu la série récemment), j’en suis encore à me demander comment l’anime a pu me marquer à ce point. Non seulement nous avons droit à un casting de grande classe, mais également à une OST qui accompagne les personnages à merveille. Si Jintai projette en apparence un monde enjoué, notamment grâce aux fées et à son univers coloré, la série garde plutôt une tendance sombre puisqu’elle présente une race humaine en plein déclin. C’est ce contraste très bien orchestré qui donne toute la puissance à la série, car il est rare de voir un univers rempli de couleurs et de vie lorsqu’on parle de fin du monde. Sous une couverture humoristique se trouve un anime à saveur psychologique qui nous invite à réfléchir sur ce qu’est l’être humain et son comportement. Les fées, quant à elles, représentent l’utopie humaine; elles travaillent en groupe uniquement dans le but d’avoir du plaisir et d’être heureuses. N’est-ce pas une belle façon de montrer que c’est en agissant en groupe et pour le groupe que l’humain s’épanouira? Jinrui wa Suitai Shimashita est une expérience unique que je recommande à quiconque souhaitant découvrir une série qui sort de l’ordinaire!

#2 Daily Lives of Highschool Boys (Danshi Koukousei no Nichijou)

Étant un amateur de série slice-of-life, Daily Lives of Highschool Boys m’avait intéressé lors de sa sortie, mais faute de temps, je n’ai eu la possibilité de regarder cette série que le mois dernier (décidément, je m’y prends tard). Une panoplie de personnages défilent lors des 12 épisodes de la série, qui a opté pour un style se démarquant des slice-of-life masculins habituels. On ne parle que très peu des relations amoureuses, des difficultés rencontrées à l’adolescence et de toutes ces choses classiques et, lorsque c’est le cas, c’est fait dans des situations totalement absurdes. Ici, les sketchs mettent en scène ce qui pourrait arriver entre deux situations classiques d’un un slife-of-life normal: être au boulot, jouer à Kick The Can de façon extrême, voir les membres du conseil des élèves discuter des améliorations à apporter à l’école et finalement décider que la meilleure idée est d’aller manger, une marche vers l’école qui se transforme en quête RPG et encore plus de folies de la sorte. Les seiyuus font un excellent travail et nous avons droit à un OP et ED de qualité. Que demander de plus qu’une série absolument loufoque qui ne se prend pas au sérieux?

#3 Tari Tari

Eh oui, un autre anime slice-of-life fait partie de mon top 3 et celui-ci se rapproche davantage des slice-of-life traditionnels comparativement à mon choix précédent, mais il a un petit quelque chose de plus : la musique. Je l’ai toujours dit, du slice-of-life lorsque couplé adéquatement à la musique, c’est génial! Tari Tari ne déroge pas à la règle et nous offre une série avec une OST remarquable, autant au niveau des OP et ED qu’au niveau de la musique jouée lors des épisodes, qui sont des morceaux qui accentuent toutes les émotions que les personnages ressentent au cours de la série. La musique est le fil conducteur de l’anime et arrive à guider les personnages à travers les épreuves qui se dressent sur leur chemin. Une série qui, derrière une apparence peut-être un peu niaise, révèle des personnages bien développés et attachants ainsi que des moments qui prennent le téléspectateur aux tripes. Quant à l’aspect visuel de la série, je ne m’y m’attarderai pas puisque, inévitablement, venant de P.A. Works, il est tout simplement magnifique. Une série qui aura marqué mon année 2012 de la bonne façon.

Mentions honorables: Aucune

Les sélections de Fireaxe

Sélections-Fireaxe

#1 Tari Tari

J’ai dû longuement réfléchir pour départager les deux premières positions de mes sélections 2012, et laissez moi vous dire que le choix a été déchirant. Ultimement, la balance a penché du côté de la plus récente production du studio d’animation P.A. Works, Tari Tari, parce qu’elle offrait une expérience plus compacte et mieux dosée que ma seconde option (voir #2). Tari Tari est une série pour laquelle j’avais beaucoup d’attentes à priori et, heureusement, je peux affirmer que j’ai été comblé au final. Les cinq personnages principaux sont tous adorables; chacun ayant un background plus ou moins étalé et bien développé. Si le principal « conflit » auquel font face nos cinq jeunes est plutôt cliché et un brin bon-enfant, il n’en est rien en ce qui concerne les angoisses de Sawa et Wakana, et c’est exactement cette dualité drôle-mais-sérieux qui a rendu Tari Tari si intéressant à mes yeux. Que le tout soit produit un peu à la manière d’un musical… je suis convaincu que ça sonne super cheesy à vos oreilles… mais pourtant le résultat est franchement étonnant. Et +1 pour le dernier épisode qui est simplement magnifique.

#2 Bodacious Space Pirates (Mouretsu Pirates)

Bodacious Space Pirates, possiblement le titre le plus trompeur de l’année, m’aura étonné pour toutes les bonnes raisons. Si on ne jurait que par la traduction littérale du titre original (Minisuka Uchū Kaizoku; Mini-skirts Pirates), on pourrait s’attendre à un énième anime à la sauce ecchi nous montrant des écolières en costumes de pirates pendant 25 épisodes… Mais, encore une fois, les sceptiques auront été confondus parce que BSP est tout sauf un anime de ce genre. Plutôt que d’y aller par une voie facile déjà empruntée un millier de fois, le directeur Tatsuo Sato et le studio Satelight nous racontent l’histoire de la jeune Marika Kato qui se retrouve soudainement héritière de la position de capitaine du Bentenmaru, vaisseau-pirate duquel son père (qu’elle croyait mort depuis longtemps) était le maître-à-bord. C’est donc lorsque Marika décide de prendre le rênes du vaisseau, et qu’elle commence à démontrer de grandes qualités de leadership, que l’on constate qu’on a affaire à un véritable role-model féminin. L’histoire racontée est loin d’être aussi grandiose et émouvante qu’un, disons, Crest Of The Stars, mais je ne retiens pas ça comme un défaut pour autant parce que Bodacious Space Pirates aura su me divertir de la première jusqu’à la dernière minute. Et +1 pour la présence d’un canon-yuri-couple (spoiler!).

#3 Chihayafuru

Par un procédé miraculeux qui serait trop complexe à tenter de résumer en seulement quelques lignes, l’équipe de création derrière Chihayafuru est arrivée à nous offrir une histoire à la fois touchante et ô combien attendrissante, et ce malgré le fait que le sujet premier de l’anime nous est complètement étranger (le karuta). Un peu à l’image de ce que nous avait présenté Nodame Cantabile il y a déjà quelques années, le résultat ici est aussi un franc succès. Si vos connaissances sur cette série ne se limitent qu’à ce que l’on retrouve dans son synopsis, ne vous laissez pas tromper: Chihayafuru n’est absolument qu’un « sports anime » avec à son centre une histoire de triangle amoureux. C’est là un résumé infiniment trop réducteur pour cette série qui peut être appréciée autant par un public féminin que masculin, qu’il soit fan de josei ou de seinen. Messieurs, ne laissez pas son design plutôt girly vous retenir de lui donner une chance, parce qu’en terme de comédie sentimentale… il ne s’est pas fait beaucoup mieux en 2012.  Et +1 pour avoir rendu le karuta cool, en 2012.

Mentions honorables: Inu X Boku SS et Humanity Has Declined

Les sélections de Kaze

Sélections-Kaze

#1 Nisemonogatari

J’ai adoré Bakemonogatari, ce n’est donc pas surprenant qu’il en soit de même pour sa suite qui, cette fois-ci, est plus centrée sur les deux jeunes sœurs de Koyomi Araragi. Visuellement, c’est encore meilleur; on retrouve une animation claire, colorée et originale comme seuls les gens du studio SHAFT savent le faire. Ils ont d’ailleurs réussi à mettre les personnages en valeur de façon remarquable afin de nous stimuler les pupilles. On y retrouve un voice-acting excellent de tous les personnages qu’on ne se lasse jamais d’entendre. Les OP et ED sont merveilleux, un peu comme une peinture d’artiste à laquelle on y aurait accroché une toune. En fait, tout est de l’art dans cet anime, de l’art SHAFTienne en provenance de la planète SHAFT. Bref, avec tout ça j’attendrai avec impatience la suite Kizumonogatari, qui sera sous format de film cette fois.

#2 Hidamari Sketch X Honeycomb

Encore un anime du studio SHAFT et, cette fois, il s’agit d’une suite. J’ai bien apprécié les saisons précédentes, je ne sais pas si c’est parce que j’ai été contaminé par la maladie que porte Fireaxe face à cette série, mais toujours est-il que j’ai acheté toutes les saisons précédentes et que je vais faire de même pour celle-ci, car je la considère comme étant la meilleure de toutes. Comme il s’agit d’un slice-of-life et qu’on a eu droit à un magnifique article sur la série, j’ai un peu de mal à trouver ce que je pourrais dire de plus sinon que la quatrième saison continue avec la même formule gagnante, appréciée de ses fans. L’aspect feel-good des précédentes saisons, qui vous transforme le cerveau en grosse guimauve rose y est toujours présent et c’est bien ainsi.

#3 Accel World

Je dois dire que j’ai eu du mal à trancher entre Accel World et Sword Art Online, qui sont tout deux des anime basés sur le thème d’un monde virtuel, d’autant plus qu’ils proviennent de Light Novels du même auteur. J’en avais d’ailleurs fait un article alors que la série commençait à peine et, comme je le pensais, j’ai vraiment adoré. Bien que l’histoire est remplie de clichés, à chaque semaine j’attendais la suite avec impatience. L’animation est jolie avec de beaux jeux de lumières, même chose pour la musique aussi qui m’a fait découvrir le groupe Mint Jam que j’ai beaucoup apprécié. Les personnages étaient bien dessinés et j’ai bien aimé le concept du monde virtuel avec ses attributs, forces et faiblesses. J’espère vraiment qu’une suite sortira, car l’anime semble avoir eu du succès et tant que les Light Novels continueront, on peut continuer d’espérer.

Mentions honorables: Sword Art Online et  Binbougami Ga!

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Les personnages de l’Année 2012

Les sélections de Falco

Top-Perso-Falco

#1 Watashi (Humanity Has Declined)

Watashi, personnage principal de Jinrui wa Suitai Shimashita, personnage que l’on apprendra à connaître, mais dont on ne saura jamais le nom. Probablement l’un des meilleurs personnages n’ayant jamais vu le jour et assurément l’une de mes héroïnes préférées. Pourquoi? Aussi fou que cela puisse paraître, je ne sais pas. Un charisme émane de Watashi, un charisme ne m’ayant pas fait cet effet depuis Hanato Kobato. Je n’ai que très peu de mots pour la décrire, mais on sent qu’elle est humaine. Elle veut aider et est très vive d’esprit, mais a également un regard sombre sur l’humanité et son petit côté paresseuse prend parfois le dessus. Bref, tout un tas de petits détails accentuent le réalisme de son comportement. Voir son évolution, la façon dont elle grandi, c’est merveilleux. Sa seiyuu y est certainement pour quelque chose, car rendre un personnage aussi attachant et crédible de la sorte, ce n’est pas donné à tout le monde. Watashi est sans aucun doute celle qui aura marqué le plus l’année 2012.

#2 Sawa OKITA (Tari Tari)

J’ai quelque peu hésité entre deux des cinq personnages principaux de Tari Tari, mais j’ai finalement opté pour Sawa Okita (pour les curieux, j’hésitais entre elle et Konatsu) tout simplement parce que c’est un de mes styles préférés de personnage. D’apparence enjouée et émotionnellement forte, elle n’expose que très peu ses problèmes personnels à la vue des autres. Cela lui joue des tours, mais c’est également ce qui fait son charme. Sawa a une énergie contagieuse et un tempérament de médiatrice qui l’aidera notamment à unifier Konatsu et Wakana. Encore une fois, un personnage avec beaucoup de charisme et auquel on peut très bien s’identifier (je me reconnais beaucoup dans ce genre de personnage, mais bon, je ne suis pas là pour parler de moi). Il serait quand même dommage de ne pas glisser un mot sur l’ensemble du cast de Tari Tari qui forme un tout. Même si elle sort davantage du lot, Sawa n’aurait pas le même impact sans le reste du groupe.

#3 Fairies (Humanity Has Declined)

Que serait Jinrui wa Suitai Shimashita sans les fées? Rien, probablement puisqu’elles sont, avec Watashi, l’essence même de la série. Tout d’abord, elles figurent sans doute parmi les personnages les plus mignons de l’histoire de la japanimation; elles sont malicieuses, mais sans vraiment avoir de mauvaises intentions. Certes, elles s’amusent parfois à profiter des humains et à leur jouer des tours, mais c’est toujours dans le but d’augmenter leur bonheur, car les Fées n’ont qu’un seul objectif: être heureuses. Et c’est en travaillant en groupe qu’elles augmentent leur niveau de bonheur, ce qui leur permet également de se reproduire grâce à un processus des plus obscurs. Je crois qu’il est possible d’associer le comportement des fées à ce qu’utopiquement celui des humains devrait être. Mais loin de moi l’idée de commencer une analyse ici-même. Je dirai tout simplement que les fées apportent un énorme plus à la série.

Mentions honorables: L‘ensemble des personnages de Daily Lives of Highschool Boys, Tapioka (Tsuritama).

Les sélections de Fireaxe

Top-Perso-Fireaxe

#1 Marika KATOU (Bodacious Space Pirates)

Comme je l’ai mentionné plus haut, les qualités de leader de Marika sont indéniables et c’est en partie ce qui en a fait pour moi l’un des plus beaux exemples de role-model féminin des nouveaux anime de cette année. Sur les bancs d’école comme au Maid-Café, où elle travaille ou à bord du Bentenmaru, tout ce qu’elle fait, elle l’exécute avec sérieux et assurance. C’est d’ailleurs ce qui lui vaut rapidement le respect de ses camarades de classe et de son équipage sur le vaisseau-pirate. C’était carrément rafraîchissant de retrouver ce type de characterization dans une série que j’anticipais être générique et sans saveur.

#2 Watashi (Humanity Has Declined)

Watashi est un autre bel exemple de personnage qui fait pratiquement une série à elle seule. Dans un monde peinturé rose-bonbon, c’est franchement drôle de se retrouver à l’intérieur de sa tête alors qu’elle interagit avec tous les weirdos qui l’entourent. Un peu à l’image d’Alice In Wonderland, l’esprit vif du personnage principal est l’unique crochet qui nous garde un pied dans la réalité alors qu’on est plongés au milieu de fées gourmandes, des tranches de pain parlantes, et d’une armée de poulets plumés sans tête. C’était tout simplement fascinant de voir Watashi, qui d’ailleurs se traduit littéralement par « Je » (allez savoir si c’est son véritable nom…) se démener comme une diablesse dans cette société où l’humanité est littéralement en perdition.

#3 Chihaya AYASE (Chihayafuru)

Même si elle est l’une des plus belles filles de son école, la personnalité de Chihaya est tellement étrange qu’elle passe constamment pour la weirdo de la place. Elle est déterminée comme dix, tellement que ça en est contagieux. Puisque la série porte sur une activité qu’on ne connait pas ici (j’hésite à appeler le karuta un sport…) et que l’histoire se résume à une suite des tournois disputés par son équipe, on peut dire sans se tromper que sans la présence constante de Chihaya, la série serait pas mal moins intéressante. On a besoin de la voir pleurer après une défaite sans importance, crier de joie alors que de nouveaux membres joignent les rangs du club, ou tout simplement de constater à chaque instant à quel point le karuta a changé sa vie. Chihaya, c’est le fil conducteur qui a fait de Chihayafuru l’une des meilleures séries de la dernière année.

Mentions honorables: Sawa OKOTA (Tari Tari) et Mayaka IBARA (Hyouka)

Les sélections de Kaze

Top-Perso-Kaze

#1  Yuuko KANOE (Dusk Maiden Of Amnesia)

On ne se le cachera pas, Yuuko est la raison principale qui en a amené plusieurs à suivre cette série et je ne fais pas exception à cette règle. La séduisante Yuuko est toute aussi mystérieuse qu’elle en a l’air, que ce soit par son apparence, sa voix, ses réactions ou simplement sa manière d’être. Dans mon livre à moi, les tall & dark bishoujo comme elle c’est toujours apprécié! De plus, l’histoire tournant autour d’elle vient renforcer le tout. Je dois dire aussi que le fanservice passe surtout par elle.

#2  Kuroyukihime (Accel World)

Encore une tall & dark bishoujo. En plus d’être jolie, c’est la fille la plus populaire de l’école et elle a de bonnes manières. Elle a de très bonnes connaissances en ce qui concerne le Accel World, d’ailleurs elle me fait penser à Rin Tohsaka de Fate/Stay Night, qui se trouve à être l’un des mes personnages favoris de l’animation japonaise. Donc il n’est pas étonnant de retrouver Kuroyukihime dans mon top de l’année. Elle a d’ailleurs un ED qui lui est dédié. Je suis même passé proche d’acheter une Figma (une figurine) de ce personnage.

#3 Fujiko MINE (Lupin III: The Woman Called Fujiko Mine)

Fujiko Mine, la mystérieuse cambrioleuse, est une femme intelligente à la poitrine généreuse qui se sert de ses charmes pour voler ou obtenir ce qu’elle désire. L’anime étant spécialement dédié à ce personnage, ça vient encore plus la mettre en valeur. Elle me fait un peu penser à ce qu’est Catwoman dans Batman, d’ailleurs après recherche, j’ai découvert que son look avait tendance à changer dans les différents anime de Lupin (sauf pour ce qui est de sa forte poitrine). Son nom serait un jeu de mot qui veut dire « sommet du mont Fuji ». Elle a aussi son OP dédié et ils ne se sont pas gênés pour mettre en valeur ces sommets du mont Fuji!

Mentions honorables: Sentarou KAWABUCHI (Sakamichi No Apollon), Momiji BINBODA (Binbougami Ga!)

Les sélections de Drenoss

Top-Perso-Drenos

#1 Momiji BINBODA (Binbougami Ga!)

Ce qui fait le charme de Momiji, c’est son attitude décontractée et sa tendance à toujours vouloir en faire le moins possible. Elle est totalement nulle pour régler tous les problèmes confrontés dans son emploi. Ça et toute la multitude de patentes à gosse qui finissent toujours par être inutiles. Je crois que ce sont ses interactions avec Ichiko (perso principal) que j’anticipais le plus parce que ça se terminait toujours en catastrophe, en quelque chose de ridicule ou bien en une situation hilarante. Il y a aussi le fait qu’elle a tendance à toujours cosplayer au bon moment des personnages connus provenant d’autre anime. Elle est pratiquement une mine d’or de références à elle seule!

#2 Koko HEKMATYAR (Jormungand)

Comme anti-héroïne, je dois dire que Koko est capable d’impressionner. Elle n’opère pas exactement dans une business qui à du mérite et voir comment elle réagit face à sa situation reste toujours intriguant. Ils ont mis une emphase particulière sur son regard et dans ses yeux qui nous laissent entrevoir sa personnalité. C’est une personne dans une position d’autorité qui n’a aucun problème à avoir du sang sur les mains tant que ça peut servir la cause en laquelle elle croit fermement. Elle est en même temps capable de montrer un autre côté d’elle-même où elle est amusante et où elle prend soin de ses coéquipier. Koko a aussi la chance d’avoir une chanson thème qui est l’une des plus étrange et captivante entendue, avec des paroles bizarroïdes du genre de “Her name is Koko she is Loco, I said Oh No!!

#3 Chihaya AYASE (Chihayafuru)

Chihaya fait partie de celles dont le sentiment de persévérance est si proéminent qu’elle en devient inspirante. Même si c’est un thème qui revient souvent pour les personnages principaux d’anime de sport, je pense que Chihaya y parvient de façon plus naturelle. Sa détermination et son caractère jovial font en sorte qu’il est difficile de ne pas vouloir en savoir davantage sur la suite de ses aventures. Sa capacité à trouver le bonheur avec si peu est une des raisons qui la rend aussi facilement attachante. Et bien sûr il y a son amour et la dévotion qu’elle met dans le Karuta qui mérite admiration.

Mentions honorables: Ranmaru RINDOU (Binbougami Ga!) et Kyouko TOSHINOU (Yuru Yuri♪♪)

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La surprise de l’Année 2012

Chihayafuru

La surprise de Fireaxe

~ Chihayafuru

En début d’année, j’aurais jamais, mais JAMAIS pensé qu’un josei dont le thème central est une multitude de compétitions d’un jeu de cartes plutôt obscure avait la moindre chance d’être l’une de mes séries favorites de l’année. Rien que pour ça, Chihayafuru se mérite haut-la-main mon vote dans cette catégorie, mais je m’en voudrais de passer sous silence la surprise que j’ai eue en constatant que ça n’allait pas être une bête histoire de triangle amoureux entre Chihaya et ses deux amis d’enfance (Taichi et Arata), comme c’est souvent le cas dans ce type de séries.

En fait, la joke est que, même si les deux gars sont clairement sous le charme de Chihaya, malheureusement pour eux elle n’a d’yeux que pour le karuta…

Kokoro-Connect

La surprise de Kaze

~ Kokoro Connect

Je dirais que ma surprise de l’année est Kokoro Connect, car quand j’ai décidé de regarder l’anime, je m’étais surtout attardé au style de dessin moe et je m’attendais à une sorte de K-ON!, visuellement semblable. Bref, je m’attendais à un anime avec de beaux personnages agréables à l’oeil, avec une dose de légèreté et de bonne humeur dans une histoire qui va nulle part. J’ai été surpris quand je me suis rendu compte que, non seulement Kokoro Connect avait une histoire, mais qu’elle semblait déboucher quelque part, et en plus la relation entre les personnages et leur développement psychologique était bien plus profonds qu’il n’y paraissait. De plus, le scandale tournant autour de l’anime est venu ajouter à la surprise.

 

La surprise de Drenoss

~ Lupin The Third: The Woman Called Fujiko Mine

Je ne suis pas tant fan des innombrables itérations de Lupin, et ce grandement parce que je suis mal renseigné et que j’ai un manque d’intérêt. Mais la raison pour laquelle cet anime m’a autant attiré l’œil est sa volonté d’être un retour sur comment se faisaient les anime dans les années 80. Principalement par son style employé dans le design des personnages, avec sa façon de recréer les lignes d’une manière assez particulière; on a qu’à penser à toute les fois où les animateurs utilisent des gros traits de crayon pour simuler de l’ombrage. À mon avis, l’anime en général est décevant, mais vaut peut-être la peine d’être considéré uniquement pour son visuel.

Des effets visuels qui, je le rappelle, mélangent si bien un style rétro avec des techniques d’animation moderne.

Inu-X-Boku-SS

La surprise de Falco

~ Inu X Boku SS

Inu x Boku SS est une autre série que j’ai regardé en janvier 2013. Je la considère comme ma surprise de l’année, car je n’attendais absolument rien de cet anime (et que je n’avais pas vraiment envie de choisir une surprise négative du genre Sword Art Online ou Chu2Koi) et je comptais seulement le regarder dans le but d’accroître mon nombre de séries de 2012 vues (histoire d’avoir l’esprit un peu plus critique). Trêve de bavardage inutile, Inu x Boku SS propose des personnages assez originaux dans l’ensemble et une histoire d’amour atypique entre une jeune bourgeoise (dotée d’une sorte de pouvoir de transformation) et de son bodyguard. Dans l’ensemble, on peut qualifier cette série de bon divertissement, mais le manque d’épisodes précipite malheureusement le scénario et quelques scènes inutiles de fanservice viennent casser le rythme.

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La meilleure histoire

Dusk-Maiden-of-AmnesiaLa sélection de Kaze

~ Dusk Maiden Of Amnesia

Yuuko Kanoe est la raison qui m’a poussé à écouter l’anime, mais au fur et à mesure que l’intrigue avançait et que j’en découvrais un peu plus sur elle, j’ai fini par me rendre compte qu’elle avait toute une histoire. Bref, on peut presque dire que c’est surtout Yuuko qui fait l’anime à elle seule et, si elle a une bonne histoire et que l’anime focus sur elle, c’est donc que l’anime a aussi une bonne histoire.

Dusk Maiden Of Amnesia est plus qu’une banale histoire de fantôme.

Mentions honorables: Lupin III ~The Woman Called Fujiko Mine~ , Kokoro Connect

La sélection de Drenoss

~ Jormungand

Je crois que l’enchaînement des évènements est un point qui a souffert légèrement et qui aurait pu être un peu plus retravaillé. Cependant, si on se réfère à la base de l’histoire, on constate que la mise en scène est assez peu fréquente dans les anime en général. On a donc droit à tout plein de zones grises avec un groupe de marchands d’armes qui nous servent de protagonistes. L’anime prend même un détour pour parler des enfants soldats de manière assez réaliste. De plus, ce que j’ai apprécié c’est (un peu plus loin dans l’histoire) toute la rivalité qui s’exerçait entre notre petit groupe et le FBI, organisation qui avait nécessairement une vision opposée à ce qu’ils entreprenaient. On y retrouve aussi en masse ce qu’il faut pour plaire à ceux qui s’intéressent à l’équipement militaire contemporain et aux tactiques sur les champs de bataille. Cette accumulation de bons coups nous démontre que l’anime possède un scénario solide.

Humanity-Has-DeclinedLa sélection de Falco

~ Humanity Has Declined

Jinrui wa Suitai Shimashita a une histoire, mais en fait non. Il n’y a pas de début, ni de fin; on ne fait que suivre la vie quotidienne de Watashi et de quelques autres personnages en période de déclin de l’humanité. Jintai mérite quand même le titre de meilleure histoire, car la façon dont elle expose son univers unique est tout simplement magistrale. Pas une seule fois la série devient redondante, et ce malgré le fait que l’histoire « n’avance pas ». Une fois de plus, il m’est difficile d’expliquer comment l’histoire de cette série arrive à se démarquer des autres. Je crois que c’est la manière dont la fin du monde est illustrée qui fait toute la différence. En surface, on n’a pas l’impression que l’humanité est en pleine dégradation, mais on comprend très vite qu’ils n’en ont plus pour longtemps et que les Fées les remplaceront bientôt. Il faut absolument voir Jinrui wa Suitai Shimashita pour comprendre et admirer toute la profondeur de l’histoire.

Mentions honorables: Hyouka

La sélection de Fireaxe

~ Tari Tari

Parce que j’ai déjà pas mal fait le tour de la question dans mon premier paragraphe, je me contenterai ici de dire que, cette année, c’est pour la finale de Tari Tari que j’ai craqué. Et je ne dis pas ça pour diminuer l’impact du reste de la série, qui selon moi a fait une job plus qu’adéquate pour communiquer les angoisses des personnages et accentuer notre attachement émotionnel envers eux. En bout de piste, la récompense en valait tellement la peine que, pour moi, Tari Tari était la seule réelle option pour cette catégorie.

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La meilleure série qu’on a pas encore vue

La sélection de Drenoss

~ Daily Lives of High School Boys

Je considère avoir vu une quantité satisfaisante d’anime en 2012, sauf que si j’ai à nommer un anime que je regrette encore de ne pas avoir visionné, ce serait celui-ci. Je suis certain que son style d’humour à la n’importe quoi me plairait, et de ce que j’ai su, ce n’est pas ce qui manque dans l’anime.

Sinon je ne suis pas tant documenté sur l’anime à part que l’histoire suit une gang de gars qui aiment bien se faire des blagues entre eux. En fait, tout ce que le titre de l’anime nous indique…

Binbougami-GaLa sélection de Falco

~ Binbougami Ga!

Comme vous avez pu le constater, je m’y suis pris un peu tard en ce qui concerne les anime de l’année 2012 et je n’ai pas eu la chance de regarder toutes les séries que j’avais dans ma mire.

Dans cette liste figure Binbougami Ga! qui, par son synopsis surprenant et farfelu, m’avait attiré. Je ne tenterai pas de le cacher, mais le fait de savoir que Kana Hanazawa doublait un personnage principal n’a fait qu’intensifier mon envie de voir cette série.

J’apprécie en général le travail de Sunrise et je crois vraiment que je pourrais apprécier Binbougami ga. J’essaierai donc de remédier à la situation prochainement en trouvant du temps pour regarder cet anime.

La sélection de Fireaxe

~ Nisemonogatari

Étant un fan invétéré et avoué du studio SHAFT, et ayant fort apprécié Bakemonogatari lors de sa diffusion en 2009, certains trouveront peut-être étrange le fait que je n’ais pas encore pris la peine de regarder ce qui, en quelque sorte, est sa « deuxième saison ». La réalité est que la deuxième moitié de Bakemonogatari m’a significativement moins impressionné que la première, donc au final j’ai un peu décroché des péripéties d’Araragi et cie. N’étant pas le plus grand fan des anime plus osé, misant de manière importante sur le fanservice, l’intérêt n’était simplement pas là pour moi en 2012. Ceci dit, sans être aussi acclamé que son prédécesseur, Nisemonogatari jouit quand même d’une assez bonne réputation et la qualité de production est assurément toujours au rendez-vous. Je vais donc me faire un devoir de corriger cette situation dans les prochains mois, question de faire honneur à mon statut de fan #1 du studio SHAFT sur NihonQc!

 Guilty-CrownLa sélection de Kaze

~ Guilty Crown

J’ai pas mal tout regardé ce qui m’intéressait comme nouvelles séries cette année, donc il m’a été difficile de trouver la meilleure série que je n’avais pas vue. Par contre, je crois que Guilty Crown en est une qui pourrait m’intéresser. Une histoire apocalyptique dans un futur rapproché sous le contrôle des multinationales, c’est le genre d’histoire qui pourrait avoir un bon potentiel. L’animation semble assez belle et j’aime tout spécialement le design d’Inori Yuzuriha. J’ai d’ailleurs remarqué que Supercell a travaillé sur l’un des OP et ED, ce qui est un plus. Le directeur est également le même qui à fait Death Note.

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La performance seiyuu de l’Année 2012

Mai NakaharaLa sélection de Falco

~ Mai NAKAHARA

Mon manque d’originalité ne surprendra personne, il me semblait évident de choisir Mai Nakahara en tant que meilleure performance seiyuu pour son rôle de Watashi. Inutile d’élaborer trop longtemps, car elle a fait un travail remarquable. Ne l’ayant entendue qu’une fois précédemment (Nagisa de Clannad), j’ai pu redécouvrir son immense talent qui me donne désormais envie de regarder davantage de séries dans lesquelles Mai est présente. Comme mentionné dans ma description de Watashi, Mai Nakahara fait atteindre à son personnage un niveau de réalisme très élevé, lui procure un énorme charisme et le rend cruellement attachant. Une performance que je n’oublierai pas de sitôt!

Satomi Satou La sélection de Fireaxe

~ Satomi SATOU

Je vais être franc, même si je m’intéresse pas mal au petit monde des seiyuu, le nom de Satomi Satou m’était totalement inconnu avant de me lancer dans la série Hyouka (bien qu’elle ait joué Ritsu dans K-ON!, série que je n’ai cependant toujours pas regardée). Cette année, je lui donne mon vote simplement parce que elle nous a offert une performance franchement unique dans le rôle d’Eru Chitanda. Elle a donné vie à un personnage qui détonnait de ce à quoi KyoAni nous a habitué, c’est-à-dire un personnage très moe en apparence, mais qui ne l’est absolument pas en réalité. Jouant constamment sur la ligne qui sépare la personnalité fragile et la tête forte, entre la weirdo et la fille brillante, elle a su tirer profit du scénario pour créer un personnage 100% authentique. « KI NI NARIMASU!« 

 

Miyuki SawashiroLa sélection de Kaze

~ Miyuki SAWASHIRO

Qualité et quantité furent les critères qui me firent choisir Miyuki Sawashiro pour ses nombreuses bonnes performances cette année dans les anime que j’ai suivis:

Death Master/Yomi Takanashi (Black Rock Shooter), Oyasan (Hidamari Sketch x Honeycomb), Himeko Inaba (Kokoro Connect), Fujiko Mine (Lupin The Third: Mine Fujiko to Iu Onna), Suruga Kanbaru (Nisemonogatari)…

Elle a aussi fait les voix de Nanba Mutta et Itou Serika dans Space Brothers , mais comme la série continue encore cette année nous n’en avons pas tenu compte. Miyuki est une seiyuu très talentueuse que j’appréciais déjà, donc cela a aussi joué en sa faveur. Je dirais par contre que parmis tous ses rôles, c’est avec celui de Fujiko Mine qu’elle a su mettre le mieux en valeur sa voix, après tout l’anime lui était dédié.

 

La Sélection de Drenoss

~ Asami SETO

Considérant que son premier rôle lui a été octroyé en 2011, c’est assez consternant de voir qu’une fille aussi talentueuse qu’elle ait encore un brillant avenir devant elle. C’est seulement en 2012 qu’elle a réussi à se tailler une place et se faire connaître en obtenant des rôles de premier plan. Quant à moi, c’est certainement pour son rôle extraordinaire dans Chihayafuru (Chihaya Ayasa) qu’elle devrait recevoir des fleurs. Elle a été capable d’atteindre l’équilibre parfait pour faire un bon personnage du genre genki (débordant d’énergie). Un rôle habituellement difficile à jouer parce qu’il faut éviter d’en mettre trop pour ne pas devenir insupportable. Heureusement, ce n’est pas ce qui s’est produit et j’ai bien hâte de l’entendre jouer d’autres rôles qui pourront lui faire prendre plus d’expérience.

 

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Section Spéciale: Les sélections de la communauté

 

Dusk-Maiden-of-AmnesiaLa sélection spéciale de…

MidnighT-WolF

Quand on parle d’anime récents, je suis du genre à préférer attendre qu’une série soit complète avant de me lancer. Donc même pour une série de l’année j’aime mieux patienter jusqu’à la sortie du dernier épisode pour pouvoir m’y investir sans interruption. C’est ce qui s’est passé avec Dusk Maiden Of Amnesia (Tasogare Otome X Amnesia) qui s’avèrera être mon choix ultime pour 2012.

 Je suis rapidement tombé sous le charme de la série (et de Yuuko bien évidemment). Pour être honnête, Yuuko m’avait déjà charmé plusieurs mois à l’avance parce que ce sont les images d’elle sur Internet qui m’ont amené à vouloir voir cette série. Cependant j’ai vite compris que l’anime ne s’arrête pas qu’à Yuuko puisque toute la comédie, la romance et le drama gravitant autour « club d’investigation du paranormal » de l’Académie Seikyo, dont elle est le chef, (avec Teiichi Niiya, Momoe Okonogi, Kirie Kanoe) nous gardent scotché à l’écran. Le mystère entourant notre Yuuko Kanoe, qui ne se souvient pas de sa mort et qui hante les couloirs du plus vieil édifice de l’Académie, nous mène également vers plusieurs allusions au paranormal (d’où l’existence du club), plus spécifiquement aux fantômes, à la mort et aux histoires d’horreurs ou rumeurs qui se propagent dans l’Académie (dont Yuuko fait souvent partie). Bref, comme je suis d’avance fanatique de romance et intéressé à ces autres thèmes, cette série possède tout pour me plaire.

Mixez cette mise en scène avec une magnifique trame sonore se fondant très bien à l’atmosphère (tout particulièrement les excellents OP et ED, ou encore la très marquante pièce « Requiem »), avec un design général vraiment beau autant pour Yuuko (on ne se cachera pas qu’elle est très attirante et qu’elle le sait, d’où la présence d’un peu de fanservice) que pour les autres personnages ou décors/lieux de l’Académie Seikyo, avec une palette de couleurs parfaite pour une série où le mystère règne (des couleurs très sombres, très automnales, très axées sur le crépuscule) et, finalement, à l’exécution presque parfaite d’une intrigue qui mélange le mystère et la romance possible entre un étudiant et une jeune fille fantôme. Même la « fin » saura ébranler les plus robustes.

 J’ai dévoré cette série en trois jours faute de manque de temps, mais elle aurait très bien pu être candidate à un marathon d’un soir. Comme c’est la seule série de 2012 qui m’a procuré cette sensation, vous savez maintenant le pourquoi du comment de ma sélection 2012. C’est une série que je recommande vivement à tous.


La sélection spéciale de…

Joossy

Il est un peu difficile de mettre en oeuvre ce qu’est l’année 2012 pour moi, car il s’agissait avant tout un retour aux sources dans le monde de l’anime pour moi. J’avais lâché prise dans les dernières années pour me concentrer sur mes études et sans y perdre intérêt, je n’y consacrais juste plus de temps. Sincèrement, je me suis plutôt intéressée à ce qui a été produit dans les deux à trois dernières années avant de me concentrer sur les nouveaux anime de la saison. Mais, avant tout, je me suis posée la question suivante: « En quoi devrais-je continuer à m’intéresser aux anime ? »

Ce qui me fait « tripper » dans les anime, c’est souvent le côté slice-of-life attaché à une réalité hors normes. Prenons en exemple Tsuritama: en quoi cet anime, tout à fait banal en fond (une histoire de pêche ?), réussit à nous épater avec ses éléments surréalistes (un poisson extraterrestre, une organisation secrète ayant comme mascotte un canard)? Ou encore, Sakamichi no Apollon (Kids on the Slope), qui nous fait réaliser que, malgré les époques, il n’y pas pas grand chose qui change. On arrive quand même à être touché par la réalité d’un étudiant transporté dans l’univers du jazz.

En quoi devrais-je m’intéresser aux anime? Parce que c’est unique en son genre et c’est pour ça que je continuerai même en 2013.


La sélection spéciale de…

Shadow8

Pendant l’année 2012, il y a deux anime qui m’ont marqué. Ce n’est pas une si grande surprise pour ma part, mais je ne m’attendais pas a ce que ça soit aussi bon. Je parle bien sûr de Jojo’s Bizarre Adventure. David Production fait de l’excellent travail en respectant un budget moindre tout en nous donnant d’excellents résultats. Le projet a commencé à cause du 25e anniversaire du manga. Les seiyuu ont été choisis avec soins pour nous offrir de la qualité. Ils ont également choisi de très bons compositeurs pour l’anime. Les deux OP sont exceptionnels et majestueux. L’anime est très fidèle au manga, ce qui est un point fort. Le style d’animation se fusionne bien avec l’atmosphère de l’univers d’Araki. Les versions blu-ray sont retappées, la censure enlevée et c’est bien plus beau. Le rythme est excellent et ils ne coupent pas de scènes. Nous sommes également en voie pour avoir les autres parties animées. Les fans ont tellement attendu d’avoir une adaptation du manga et nous n’en sommes pas déçus. De plus, c’est l’anime de l’automne le plus regardé au Japon, un anime qu’on se doit de connaitre pour notre culture japonaise et pour constater que ça a beaucoup inspiré de titres dans le passé. Il y a eu aussi Fate/Zero 2 que j’ai adoré. En ayant lu le light novel, je voulais absolument voir le résultat en animation. Il y a eu pas mal de scènes épiques dans cette deuxième partie qu’on peut retenir et la musique de Kajiura est très belle et bien choisie. Il fallait que ça soit animé parce que ca reste le meilleur titre dans les Fate. Oui, l’histoire y est plus sombre, les personnages sont adultes et le scénario n’en devient que meilleur. Le seul défaut est qu’on ne connaît pas toujours les pensées des personnages comme dans le LN. L’animation est très belle aussi.

~ Regroupement des sélections et montage de l’article par Fireaxe ~

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